19 et 20 juin 2015
Oslo est une ville maritime, la promenade portuaire fait dix kilomètres.
Après avoir déjeuné à "Nielsen Spiseri" (correct mais le plat chaud de saumon n'est servi qu'après 14 heures, je n'ai pas bien compris les horaires des repas ici), je longe le quai à la droite de l'opéra, passe devant la forteresse Fort Akershus et arrive au port de plaisance, haut lieu d'animation. Les quais sont bondés depuis le City Hall jusqu'au musée futuriste d'art moderne Astrup Fearnley. Il fait chaud à oslo, très chaud.
On arrive au port en descendant la colline, j'observe les Norvégiens :; j'en ai repéré deux types : les grands et minces aux longues jambes et les costauds massifs buveurs de bière que j'imagine être l'archétype des Vikings. Devant la statue de Roosevelt, en voici trois profitant du panorama sur le port.
Toute la partie gauche du port est un musée à ciel ouvert où d'anciens navires sont exposés.
Côté droit du port, on trouve les restaurants, les bateaux de plaisance où les propriétaires prennent le soleil,
les bancs des mangeurs de glaces,
ou les bars chics et bondés,
avant d'arriver au musée à l'architecture épurée faisant écho à l'opéra sur l'autre rive.
Il fait si chaud que même les chiens ont chaud (hot dog en traduction littérale).
Retour vers le centre-ville où la France est bizarrement représentée.
J'ai croisé une manifestation dans la grande rue commerçante dont j'ignore le motif
et là aussi, on cherche à se rafraîchir.
Il est temps de rentrer à Storgata, Hostel Anker, demain je prends l'avion pour Bodo et le bateau pour Stamsund.
Près de la cathédrale, une mendiante côtoie la jeunesse dorée, image de la solitude et contraste des rues d'Oslo.
Oslo est une ville maritime, la promenade portuaire fait dix kilomètres.
Après avoir déjeuné à "Nielsen Spiseri" (correct mais le plat chaud de saumon n'est servi qu'après 14 heures, je n'ai pas bien compris les horaires des repas ici), je longe le quai à la droite de l'opéra, passe devant la forteresse Fort Akershus et arrive au port de plaisance, haut lieu d'animation. Les quais sont bondés depuis le City Hall jusqu'au musée futuriste d'art moderne Astrup Fearnley. Il fait chaud à oslo, très chaud.
On arrive au port en descendant la colline, j'observe les Norvégiens :; j'en ai repéré deux types : les grands et minces aux longues jambes et les costauds massifs buveurs de bière que j'imagine être l'archétype des Vikings. Devant la statue de Roosevelt, en voici trois profitant du panorama sur le port.
Côté droit du port, on trouve les restaurants, les bateaux de plaisance où les propriétaires prennent le soleil,
les bancs des mangeurs de glaces,
ou les bars chics et bondés,
avant d'arriver au musée à l'architecture épurée faisant écho à l'opéra sur l'autre rive.
Il fait si chaud que même les chiens ont chaud (hot dog en traduction littérale).
Retour vers le centre-ville où la France est bizarrement représentée.
J'ai croisé une manifestation dans la grande rue commerçante dont j'ignore le motif
et là aussi, on cherche à se rafraîchir.
Près de la cathédrale, une mendiante côtoie la jeunesse dorée, image de la solitude et contraste des rues d'Oslo.
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