Jeudi 30, temps convenable. Balade du côté des montagnes.
Vendredi 1er mai, pluie toute la journée. Réfugiées dans le musée d'art moderne, le seul ouvert, nous avons erré dans de grandes salles vides où quelques oeuvres étaient supposées exprimer le lien avec la nature. Trop de pluie torrentielle pour avoir une chance de voir le grand parc attenant.
Samedi 2 mai : vue de la fenêtre de l'appartement au réveil :
Les immeubles sont noyés dans la brume. Notre immeuble haut de gamme voisine avec des immeubles tellement délabrés qu'on a du mal à imaginer qu'ils sont habités. Les habitants portent les marques de la misère, de l'alcoolisme, de la drogue. Pourtant, la cohabitation se passe sans problème, il n'y a ni vols ni dégradations des voitures stationnées.
Nous partons quand même, en bus cette fois et sous un parapluie, ce qui rend les prises de vues un peu compliquées.
Malgré la pluie, du linge tente toujours de sécher aux fenêtres, parfois sous un parasol comme les slips noirs ci-dessous :
Ville mouillée sous un ciel brouillé qui pourrait être baudelairien, en portugais "saudade".
En vertical, c'est plus créatif, viens-je d'apprendre. Pas faux.
Puis nous avons traversé le pont pour l'autre rive : Maia où sont les caves à touristes.
La pluie s'est arrêtée, il nous a fallu grimper pour arriver à la cave Taylor's, mais trop tard, les visites étaient terminées à 16 heures.
En redescendant, nous avons fait halte dans un lieu de dégustation à l'netrée gratuite et où une chanteuse de fado se produisait :
Retraversée du pont:
Le soleil couchant nous gratifie d'un rayon :
Vendredi 1er mai, pluie toute la journée. Réfugiées dans le musée d'art moderne, le seul ouvert, nous avons erré dans de grandes salles vides où quelques oeuvres étaient supposées exprimer le lien avec la nature. Trop de pluie torrentielle pour avoir une chance de voir le grand parc attenant.
Samedi 2 mai : vue de la fenêtre de l'appartement au réveil :
Les immeubles sont noyés dans la brume. Notre immeuble haut de gamme voisine avec des immeubles tellement délabrés qu'on a du mal à imaginer qu'ils sont habités. Les habitants portent les marques de la misère, de l'alcoolisme, de la drogue. Pourtant, la cohabitation se passe sans problème, il n'y a ni vols ni dégradations des voitures stationnées.
Nous partons quand même, en bus cette fois et sous un parapluie, ce qui rend les prises de vues un peu compliquées.
En attendant le bus 500 |
Ville mouillée sous un ciel brouillé qui pourrait être baudelairien, en portugais "saudade".
En vertical, c'est plus créatif, viens-je d'apprendre. Pas faux.
Puis nous avons traversé le pont pour l'autre rive : Maia où sont les caves à touristes.
La pluie s'est arrêtée, il nous a fallu grimper pour arriver à la cave Taylor's, mais trop tard, les visites étaient terminées à 16 heures.
En redescendant, nous avons fait halte dans un lieu de dégustation à l'netrée gratuite et où une chanteuse de fado se produisait :
Retraversée du pont:
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