Les tamaris si joyeux en été semblent des êtres figés par un mauvais sort en hiver.
Même si le printemps approche, encore aucun bourgeon sur ces branches qui font penser à la chevelure d'un être torturé par le vent. A moins qu'il ne s'agisse d'une sorte de troll islandais, de viltansou breton ou de quelque autre membre de la famille des korrigans.
Dans les branches nues, on peut voir les cheveux du vent.
Derrière la plage de Kerguélen à Larmor-Plage.
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